Kontakt / contact     Hauptseite / page                  principale / pagina principal / home     zurück                  / retour / indietro / atrás / back
D - ENGL - ESP - It - NL  
<<
        >>

La vie des homos / gays 02

La psyché des gays avec de gigantesques problèmes de dépression - taux élevés d'abus des enfants, de meurtre et de suicide

Si l'anus ne ferme plus chez les gays de plus de 30 ans, la schizophrénie survie parce qu'ils pensaient qu'être gai était une "liberté", mais c'est l'enfer avec les serviettes hygiéniques et les couches, et alors ils ne se soucient plus de rien. La dépression est suivie par la drogue, l'abus d'enfants, le meurtre, le suicide.

Mobbing et désespoir  Seringue d'héroïne pour une overdose pour se suicider  enfant garçon, victime d'abus, 35% des abuseurs d'enfants sur les garçons sont gays  Meurtrier et tueur, coup de feu avec un revolver
Mobbing et désespoir [3] - Seringue d'héroïne pour une overdose pour se suicider [5] - enfant garçon, victime d'abus, 35% des abuseurs d'enfants sur les garçons sont gays [7] Meurtrier et tueur, coup de feu avec un revolver [12]

présenté par Michael Palomino (à partir de 2018)

Partager:

Facebook








Les gays ont un énorme problème de dépression

Coming out Day e.V. Logo

2001: Mobbing et violence contre les jeunes gays et lesbiennes
Les jeunes gais et lesbiennes sont victimes d'intimidation et de violence dans les familles, dans les écoles et dans le public
(original allemand: Lesbische und schwule Jugendliche sind Opfer von Mobbing und Gewalt in Familie, Schule und der Öffentlichkeit)
http://www.coming-out-day.de/informationen/fakten.html

Mobbing contre les jeunes gays et lesbiennes et pensées suicidaires et tentatives de suicide  Mobbing et désespoir
Mobbing contre les jeunes gays et lesbiennes et pensées suicidaires et tentatives de suicide [1] - Mobbing et désespoir [3].

Traduction:

<Plus de la moitié d'entre eux ont été victimes de diffamation et d'intimidation de la part de leurs pairs. Environ quatre amis sur dix ont pris leur retraite. Le même nombre a été insulté en public, presque un tiers à l'école. Les élèves font souvent l'expérience que les lesbiennes et les gays deviennent des cibles de plaisanteries et de mépris sans que les enseignants réagissent de façon appropriée.

Par exemple, seulement 18 % des enseignants défendent les lesbiennes et les gays en classe, mais plus de 27 % rient ou sont d'accord avec les remarques homophobes.

La violence physique due à l'identité sexuelle a déjà été vécue par 7% des adolescents lesbiennes et gays à l'école et 5,7% en public. La violence physique à la maison touche 1,5% des jeunes en raison de leur homosexualité.

Les chiffres l'illustrent: La violence homophobe est omniprésente et se situe principalement sur le plan verbal et psychologique. Dans la majorité des cas, les jeunes subissent la violence décrite pas seulement une fois, mais plusieurs fois.

Sources :
"Les enfants gays: Résultats sur la situation de vie, l'identité sociale et sexuelle", étude du Ministère de la Femme, du Travail et des Affaires sociales de Basse-Saxe [Allemagne], 2001>

(original allemand: Quellen:
„Schwule Jugendliche: Ergebnisse zur Lebenssituation, sozialen und sexuellen Identität“, Studie des Niedersächsischen Ministeriums für Frauen, Arbeit und Soziales, 2001>)

========

Coming out Day e.V. Logo

2003: Le taux de suicide chez les jeunes gais et lesbiennes est 4 à 7 fois plus élevé que chez les hétérosexuels - en raison de la discrimination et de la "disgrâce familiale"
Les adolescents gays et lesbiennes ont un taux de suicide quatre à sept fois plus élevé
(original allemand: Lesbische und schwule Jugendliche haben eine vier- bis siebenmal höhere Suizidrate)
http://www.coming-out-day.de/informationen/fakten.html

Traduction:

<Le risque de suicide chez les lesbiennes et les gays âgés de 12 à 25 ans est quatre à sept fois plus élevé que chez les jeunes en général. Le risque de suicide est plus grand le plus jeunes sont les jeunes avec leur sortie (coming out).

Selon l'étude du Sénat de Berlin "Elle l'aime. Il l'aime." ("Sie liebt sie. Er liegt ihn.") six répondants sur dix ont déjà envisagé de mettre fin à leur vie, les filles un peu plus souvent que les garçons. 18% ont déjà tenté de se suicider. L'expérience montre que le risque de suicide augmente avec le nombre de tentatives de suicide antérieures.

Les jeunes particulièrement sont à risque qui

-- sont indésirables et non désirés dans la famille, émotionnellement négligés,
-- sont rejetés ou submergés [par le travail ou les tâches],
-- vivent dans une atmosphère familiale constamment tendue,
-- souffrent de l'expérience de la violence (physique et/ou psychologique),
-- ont subi de grandes pertes, des séparations et des ruptures,
-- ont une sortie (coming out) problématique.

Surtout les jeunes hommes souffrent de la peur ou de la réalisation d'être gay. Après une tentative de suicide, plusieurs jeunes homosexuels nous ont dit qu'ils voulaient libérer leurs parents de la honte d'avoir un enfant homosexuel.

Ce n'est pas l'homosexualité elle-même qui mène au suicide, mais ses propres peurs (justifiées), les expériences avec les réactions de son environnement (parents, pairs, école) et l'évaluation sociale.

Moins il y a d'acceptation et d'inclusion sociale, plus est le doute de soi même et plus grand est la crise (....). Dans l'ensemble, ce sont les facteurs de stress de longue durée qui déterminent l'attitude à l'égard de la vie des jeunes à risque de suicide.

Les jeunes à risque de suicide ne parlent généralement pas de leur homosexualité dans les centres de conseil, avec les conseillers, etc. ou seulement beaucoup plus tard ou seulement sur demande, parce qu'ils ne sont pas sûrs de l'attitude des conseillers/enseignants..., sur ce sujet. Les jeunes sont donc souvent complètement seuls.

Sources :
"Sur la situation de vie des jeunes lesbiennes et homosexuels - homosexualité et suicidalité", Département, Dipl.-Psychologue Sigrid Meurer (Centre de Counselling Neuhland, Établissement modèle pour enfants et adolescents suicidaires)
dans: "La force de la demande - Les parents et leurs enfants homosexuels, Actes de l'Assemblée fédérale des parents, BEFAH e.V.", Berlin 2003, info@befah.de>

(original allemand: Quellen:
„Zur Lebenssituation junger Lesben und Schwuler - Homosexualität und Suizidalität“, Referat, Dipl.-Psychologin Sigrid Meurer (Beratungsstelle Neuhland, Modelleinrichtung für suizidgefährdete Kinder und Jugendliche)
in: „Stärke gefragt - Eltern und ihre homosexuellen Kinder, Tagungsband Bundeselterntreffen, BEFAH e.V.“, Berlin 2003, info@befah.de>)

========

Huffington Post        online, Logo

"EUA" 14.10.2018 : Les gays souffrent de solitude - drogue, dépression, suicides
Épidémie de solitude: pourquoi les drogues, la dépression et les suicides sont plus fréquents chez les gays que jamais auparavant
(original allemand: Epidemie der Einsamkeit: Warum Drogen, Depressionen und Selbstmorde unter Schwulen so verbreitend sind, wie noch nie)
https://www.huffingtonpost.de/michael-hobbes/einsamkeit-drogensucht-depression-und-selbstmord-schwulen_b_18224392.html

Set de seringues d'héroïne pour une overdose pour se suicider Set de seringues d'héroïne pour une overdose pour se suicider [5].

Les jeunes gays ne savent pas quoi faire de leur vie? Il est étrange qu'il n'y ait pas de clubs pour prévenir les drogues, la dépression et les suicides.

L'article (traduction):

<Les homosexuels s'entretuent plus souvent que les hétérosexuels. Et ils souffrent souvent de problèmes psychologiques. Michael Hobbes sur le drame de l'homme gay

"J'ai toujours été si irritable quand la méthamphétamine s'est épuisée ", dit mon ami Jeremy.

"Quand tu l'as, tu dois aller plus loin. Si vous n'en avez plus, c'est comme,'Ok, je peux retourner à ma vie maintenant. Je n'ai pas dormi tout le week-end et je suis allé à ces soirées sexuelles et je me suis senti comme de la merde jusqu'à mercredi. "Il y a deux ans, je suis passé à la cocaïne parce que je pouvais travailler le lendemain."

Jeremy était à l'hôpital quand il me l'a dit. Il ne dit pas exactement comment la surdose s'est produite, seulement qu'un étranger a appelé l'ambulance et il s'est réveillé ici.

"Quand tu l'as, tu dois aller plus loin. Si tu n'en as plus, c'est comme,'Ok, je peux retourner à ma vie maintenant. Je n'ai pas dormi tout le week-end et je suis allé à ces soirées sexuelles et je me suis senti comme de la merde jusqu'à mercredi. "Il y a deux ans, je suis passé à la cocaïne parce que je pouvais travailler le lendemain."

Jeremy était à l'hôpital quand il me l'a dit. Il ne dit pas exactement comment la surdose s'est produite, seulement qu'un étranger a appelé l'ambulance et il s'est réveillé ici.


"Les drogues étaient une combinaison d'ennui et de solitude" - [les gays jouent la façade parfaite pour couvrir leur souffrance jusqu'à ce qu'ils s'effondrent]

Je n'aurais jamais pensé avoir une telle conversation avec mon ami Jeremy. Jusqu'à il y a quelques semaines, je ne savais pas qu'il prenait des drogues plus dures que les martinis.

Il est sportif, intelligent, nourriture sans gluten et porte une chemise propre n'importe quel jour de la semaine. Quand je l'ai rencontré la première fois avant trois ans, il voulait savoir où faire du crossfit.

"Les drogues étaient une combinaison d'ennui et de solitude, dit-il. "Vendredi soir, je suis rentré du travail, complètement assommé et je me suis demandé: " Et maintenant ? Alors j'ai téléphoné pour me faire livrer de la méthamphétamine et vérifier les soirées sur Internet. Soit ça, ou soit regarder un film seul."

Jeremy n'est pas le seul ami gay qui a des problèmes. Malcolm [un autre ami gay] quitte à peine la maison parce qu'il souffre d'anxiété grave. En raison de la dépression de Jared [un ami gay], ses contacts sociaux se limitent maintenant à moi, au gymnase et à Internet. Et il y avait Christian, le deuxième homme que j'ai embrassé qui s'est suicidé à 32 ans, deux semaines après le départ de son ami.

Pendant des années, j'ai vu la vie de mes amis hétérosexuels et gays s'éloigner les uns des autres. La moitié de mon réseau social est partie dans des familles et des banlieues, l'autre moitié est aux prises avec l'isolement et l'anxiété, les drogues dures et le sexe à risque.


La dépression, la solitude et les drogues sont tout aussi courantes dans la communauté gaie comme avant des décennies - [la reconnaissance d'un mariage gai n'apporte pas plus de bonheur! La dépression reste - à cause de l'anus qui ne se ferme plus]

[L'article dissimule que la principale cause de dépression chez les gays est l'anus, qui ne se ferme plus].
La réalité de la vie gay fut tout autre chose que mes idées de la vie d'un homme gay. Jeremy dans sa crise, il n'y avait pas de raison de se plaire, pas fut intimidé par ses pairs, ni fut rejeté para sa famille. Il ne peut pas se souvenir d'avoir été traité de pédé.

Sa mère lesbienne l'a éduqué dans une banlieue de la côte ouest [des "EUA"]: "Elle se présentait quand j'avais douze ans", dit-il. "Et dans la phrase suivante, elle a dit que j'étais gay. Je ne m'en rendais même pas compte."

Jeremy et moi avons 34 ans. Dans nos vies, les gays ont gagné plus d'acceptation sociale et juridique que jamais auparavant. Dans mon adolescence, le mariage homosexuel était un rêve lointain, mis entre guillemets par les journaux. Aujourd'hui, il a reçu l'approbation de la Cour suprême.

[La reconnaissance du mariage gay ne change pas l'état mental des gays]

[Aux "EUA"], l'approbation sociale du mariage gai était accepté par 27 % en 1996 ce qui ha changé à 61 % en 2016. Dans la culture pop, les homosexuels sont si courants qu'ils peuvent même commettre des erreurs.

Néanmoins, alors que nous célébrons l'ampleur et le rythme de ce changement, la dépression, la solitude et les drogues sont aussi courantes dans la communauté gaie comme avant des décennies. Selon l'étude, le taux de suicide chez les gais est de deux à dix fois plus élevé que chez les hétérosexuels. Les phases dépressives sont deux fois plus fréquentes chez nous.

[Supplément : L'anus qui ne se ferme pas après 30 ans reste non mentionné].

Selon une étude récente menée auprès d'hommes gais vivant à New York, les trois quarts d'entre eux souffraient de crises d'anxiété ou de dépression, prenaient de la drogue ou de l'alcool ou avaient des rapports sexuels non protégés. Même si nous parlons constamment de "familles de choix", les hommes gais n'ont pas autant d'amis proches que les hétérosexuels ou les lesbiennes.

[Supplément: Apparemment, la dépression n'est PAS causée par des lois, mais par l'anus, qui ne se ferme plus lorsque ils ont trop de sexe anal et ils poussent des objets trop grands. Plus les gays ont de sexe anal avec de gros objets, plus le pire devient l'anus, qui ne se referme pas après 30 ans. Dès l'âge de 30 ans, les gays deviennent utilisateurs des serviettes hygiéniques et à partir de 40 ans, utilisateurs de couches. La liberté" est terminée et CELA provoque la dépression permanente].

Aux Pays-Bas, les homosexuels souffrent trois fois plus souvent de troubles affectifs que les hétérosexuels - [bien que la Hollande soit extrêmement favorable aux homosexuels]

Je ne veux pas faire semblant d'être objectif. Je suis un homme gay, vivant temporairement seul, élevé dans une petite ville normale par des parents organisés dans une association de parents d'homosexuels.

Personne dans ma connaissance n'est mort du SIDA. Je n'ai jamais fait l'objet d'une discrimination directe et je suis sorti d'un monde où le mariage, les clôtures de chasse et un chien golden retriever n'étaient pas seulement des objectifs réalisables pour un homosexuel, mais étaient même attendus de lui.

"Pour certains gays, le mariage homosexuel et les changements dans la loi étaient une amélioration", dit Christopher Stults. À l'Université de New York, il examine les différences dans la santé mentale des gais et des hétérosexuels. "Mais beaucoup d'autres ont été déçus. Maintenant que nous avons atteint ce statut juridique, toutes les attentes n'ont pas été satisfaites."

[NL: Malgré le mariage gay depuis 2001, le sentiment d'une âme vide persiste: 3 fois plus de troubles affectifs que d'habitude, 10 fois plus d'intentions suicidaires et de tentatives de suicide que normal]

Pas seulement les Américains connaissent ce sentiment d'une âme vide. Dans les pays-Bas, le mariage homosexuel existe depuis 2001, mais pourtant les homosexuels ont trois fois de suicides comme les hommes hétérosexuels qui sont mariés avec des femmes.

[Suède : Mariage homosexuel depuis 2009 - mais le taux de suicide est 3 fois plus élevé chez les homosexuels que chez les hétérosexuels]

La Suède a des partenariats enregistrés depuis 1995 et l'égalité du mariage depuis 2009, mais les hommes mariés à des hommes ont un taux de suicide trois fois plus élevé que les hommes mariés à des femmes.

Toutes ces statistiques difficiles à supporter conduisent à la même conclusion: si un homme se sent attiré par d'autres hommes, il risque encore une aliénation dangereuse. La bonne nouvelle: les épidémiologistes et les spécialistes des sciences sociales en comprennent mieux que jamais les raisons.

[Supplément: Les épidémiologistes et les sociologues n'ont AUCUNE idée sur le point crucial: Apparemment, la dépression n'est PAS causée par des lois, mais par l'anus, qui ne se ferme plus lorsque ils ont trop de sexe anal et ils poussent des objets trop grands. Plus les gays ont de sexe anal avec de gros objets, plus le pire devient l'anus, qui ne se referme pas après 30 ans. Dès l'âge de 30 ans, les gays deviennent utilisateurs des serviettes hygiéniques et à partir de 40 ans, utilisateurs de couches. La liberté" est terminée et CELA provoque la dépression permanente].

Travis Salway, chercheur au Centre de Control des Maladies (Centre for Disease Control) de Vancouver, étudie les raisons des suicides des hommes gays depuis cinq années.

"Avant, les hommes gais se sentaient seuls parce qu'ils ne pouvaient pas se présenter", dit-il. "Mais aujourd'hui, des millions de gays se présentent et ils ressentent toujours le même isolement."

[Parce que le problème principal, l'anus, qui ne se ferme plus, n'est pas résolu. La présentation n'est pas complète!].

Les homosexuels ont été expulsés de leurs familles, leur vie amoureuse était interdite

On se retrouve pour le déjeuner dans un petit bar à nouilles. Il est novembre et lui, il porte un jean, des couvre-chaussures et une alliance. "Mariage gay?", je demande. - "Même monogame", dit-il.

Salway a grandi à Celina, État Fédéral d'Ohio, une ville industrielle délabrée d'environ 10.000 habitants, où les jeunes de 21 ans étaient en compétition pour le mariage avec l'université. On l'a traité de pédé avant même qu'il s'en rende compte.

"J'étais féminine et je chantais en coeurs", dit-il. "C'était assez." La plupart de ses années de lycée, il avait une amie et évitait les relations avec les garçons jusqu'à ce qu'il puisse s'en aller.

Vers la fin des années 90, il était travailleur social et épidémiologiste, et la distance croissante entre amis hétérosexuels et gays l'irritait autant que moi. Y avait-il peut-être plus que ce qui avait été supposé jusque-là au sujet des hommes gais et de la santé mentale ?

La disparité est apparue pour la première fois dans les années 1950 et 1960, et les médecins l'ont considérée comme un symptôme de l'homosexualité en soi, l'une des nombreuses manifestations de ce que l'on appelait à l'époque l' "inversion sexuelle". Lorsque le mouvement gay a décollé, l'homosexualité a été retirée de la liste des déficiences mentales et le problème a été expliqué par un traumatisme. Les homosexuels ont été expulsés de leur famille, leur vie amoureuse était interdite. Bien sûr, leurs taux de dépression et de suicide ont atteint des niveaux inquiétants.

"C'est ainsi que je me suis senti, dit Salway, que le suicide gay était le produit d'une période antérieure ou qu'il s'est produit surtout chez les jeunes qui ne voyaient pas d'autre issue."

[Les suicides: les gays ont le même taux partout - soit dans les quartiers homophobes ou gays!]

Puis il a analysé les dates. Le problème n'était pas seulement le suicide, et il ne se produisait pas seulement chez les adolescents, pas seulement dans les zones d'homophobie rampante.

Il a constaté que les gais, partout et à tout âge, souffrent plus fréquemment de maladies cardiovasculaires, de cancer, de l'addiction sexuelle, de dysfonction érectile, d'allergies, d'asthme et de bien d'autres maladies. Au Canada, plus de gays meurent du suicide que du SIDA depuis des années.

Résumé

Les maladies des gays - n'importe pas si ils vivent dans des zones homophobes ou homosexuelles
-- des maladies cardiovasculaires [par une mauvaise alimentation - guérir avec de la soude].
-- cancer [seulement apparaît avec un pH bas en raison d'une mauvaise alimentation - guérir avec de la soude].
-- une addiction sexuelle [quand la vie sexuelle affecte la vie professionnelle].
-- dysfonction érectile [due à une mauvaise alimentation - manger tout intégral, pas de choses frites, pas de limonades].
-- allergies [est un dommage causé par un vaccin, est également dû à un pH faible en raison d'une mauvaise nutrition - guérir avec de la soude].
-- asthme [dommages causés par l'inoculation, est également dû à un pH faible en raison d'une mauvaise alimentation - guérir avec de la soude].
[-- pas mentionné: L'anus est cassé après 30 ans et ne se referme plus, l'homme gay devient un utilisateur chronique des serviettes hygiéniques et des couches, la discrimination et la dépression continuent d'augmenter].
-- suicides.

Le stress d'être constamment préparé à être victime de discrimination

[Les gays tombent nerveusement malades, n'importe pas si ils sont discriminés ou ils vont bien]

"Il y a des hommes gays qui n'ont jamais été agressés sexuellement ou physiquement mais ils souffrent de troubles de stress post-traumatiques similaires à ceux qui ont connu des situations de combat ou de viol", dit Alex Keuroghlian, psychiatre au Centre de recherche sur les populations de l'Institut Fenway (Fenway Institute's Center for Population Research in LGBT Health).

Les hommes gays sont "calibrés pour s'attendre à la discrimination", estime Keuroghlian. Nous continuons de contrôler les alentours toujours si nous ne risquons pas de tomber. Nous nous battons pour l'affirmation de soi. Nous avons l'idée des faillites sociales sans fin.

Mais ce qui est le plus surprenant à propos de ces symptômes, c'est le fait que nous ne les percevons généralement même pas comme des symptômes. Depuis qu'il a traité ces données, Salway parle avec des hommes gays qui ont survécu à une tentative de suicide.

[Les gays semblent moins capables de résoudre les problèmes parce qu'ils sont beaucoup plus stressés, parce qu'ils sont en minorité - et c'est pourquoi ils pensent davantage au suicide]

"Quand on les demande pourquoi ils voulaient se suicider, la plupart ne mentionnent même pas leur homosexualité." Au lieu de cela, ils parlent des problèmes relationnels, des problèmes professionnels, des problèmes financiers. "Ils ne perçoivent pas leur sexualité comme un facteur décisif dans leur vie. Pourtant, leur taux de suicide est dix fois plus élevé."

Ce phénomène est décrit en science avec le "modèle de stress minoritaire". Dans sa forme la plus directe, c'est très simple: appartenir à un groupe marginal implique des efforts supplémentaires.

Quand une femme et la seule femme pendant une réunion de commerce, ou quand une femme et la seule personne noire dans une maison des étudiants, alors ces femmes pensent plus que normalement les autres qui ne sont pas de cette minorité. Et quand on se défend comme femme contre le chef ou pas, alors on correspond aux clichés sur les femmes au travail?

Quand on faillite une preuve, les gens vont penser que la race est la cause? Même si l'on n'est pas ouvertement stigmatisé, ces pensées constantes laissent leur marque à long terme.

Tout le rejet ne s'est produit que dans ma tête - [Troubles de stress parce que l'on appartienne à une minorité]

John Pachankis fait des recherches à Yale sur le stress. À son avis, le trouble mental vient pendant les cinq ans entre la découverte d'être homo et le courage de parler sur ça avec les autres.

Dans cette période, même des situations de stress relativement insignifiantes ont un impact disproportionné - non pas parce qu'elles seraient traumatisantes, mais parce que nous sommes prêts à ce qu'elles se produisent. "Une personne ne doit pas être nommé comme gay pour adapter le comportement pour éviter cet évènement", dit Salway.

C'était la même chose pentdant mon adolescence: toujours observant, ne disant rien de mal, toujours avec le stress, toujours en surcompensation. Quand dans une piscine d'aventure au toboggan aquatique j'était avec un ami d'école, il m'a surpris comme je l'ai regardé.

"Mec, qu'est-ce que tu me regardes?" Je pouvais juste le distraire, quelque chose comme "Désolé, tu n'es pas mon type", mais dans les semaines qui ont suivi, j'ai été tourmenté par la pensée de ce qu'il pensait probablement de moi. Et lui, il n'en n'a jamais parlé non plus. Tout ce rejet se passait dans ma tête.

Grandir comme un gay est tout aussi stressant que de grandir dans une pauvreté extrême - [et le trouble de stress post-traumatique ne s'arrête JAMAIS !]

"Le véritable traumatisme pour les gais est la longue période", dit William Elder, chercheur en traumatologie et psychologue. "Un seul traumatisme est un trouble de stress post-traumatique qui peut être guéri en six mois de thérapie.

Mais quand on vit de petites situations stressantes pendant des années et qu'on se demande à chaque fois: "Est-ce que c'était à cause de ma sexualité? ça peut même intensifier l'effet." Cachant son homosexualité est dans la position d'une personne qui est battue à répétition et facilement dans le bras, dit Elder.

Au début, la personne affectée est ennuyé. Depuis vient la colère. Après tout, la personne ne peut penser plus que à ce tème.

Et puis le stress s'accumule dans le corps parce qu'on y fait face tous les jours.

Apparemment, grandir comme homosexuel est aussi stressant que de grandir dans la pauvreté extrême.

[La question de l'hormone]

Selon une étude réalisée en 2015, les gays produisent moins de cortisol, une hormone de régulation du stress. Leur organisme a été si actif pendant leur adolescence qu'ils deviennent paresseux à l'âge adulte, dit Katie McLaughlin, l'une des auteurs de l'étude.

[Le stress constant des homos - suffit UN idiot pour augmenter le stress de la vie]

En 2014, une étude scientifique ha comparé les facteurs de risque cardiovasculaire des adolescents hétérosexuels et homosexuels. Il s'est avéré que les enfants gays n'étaient pas exposés à plus des situations de stress - ça veut dire: aussi les adolescents hétérosexuels tiennent leurs problèmes - mais le système nerveux est bien plus endommagé que les systèmes nerveuses des hétérosexuels.

Même Monsieur Salway, qui a travaillé profondament sur le stress des minorités, se sent parfois mal à l'aise de se promener à Vancouver avec son partenaire. Il n'a jamais été attaqué auparavant, mais des idiots l'ont insulté en public une fois. Quand ça passe quelques fois, ça provoque une panique éternelle et le c½ur va plus vite chaque fois quand s'approche une voiture.


Il y a un ton rude chez les hommes, ce qui n'est pas différent chez les homosexuels

Il y a un ton rude chez les hommes, et ce n'est pas différent chez les gays. Bien au contraire.

[Dommages nerveux chez les gays : 1) Par toujours cacher son identité - 2) Par le mobbing depuis se présenter]

Les nombreux problèmes de santé des gays ne peuvent pas expliqués seulement par le stress d'une minorité. En fait, le premier dommage se produit alors quant ils se cachent, et le second dommage se produit - et c'est le dommage le plus grave - après la présentation (coming out) par le mobbing.


La discrimination rôde aussi dans la communauté gaye - [Discriminations et insultes de gays contre gays]

Pendant des décennies, les psychologues ont supposé que les phases cruciales de la formation de l'identité gay conduisent à la présentation (coming out) et que lorsque nous nous sentons enfin bien dans notre peau, nous pouvons construire notre vie ensemble avec des personnes qui ont vécu les mêmes expériences.

Cependant, les recherches menées au cours des dix dernières années montrent que la lutte pour l'adaptation devient encore plus féroce. Selon une étude réalisée en 2015, les hommes qui venaient de se présenter souffrent plus d'anxiété et de dépression que ceux qui cachent encore leur homosexualité. Parce que la discrimination se cache aussi dans la communauté gay.

Tous les gays que je connais ont un paquet avec toute la méchanceté que d'autres gays lui ont raconté ou lui ont fait. Quand je suis allé à un rendez-vous, le gars s'est levé dès qu'il m'a vu, m'a accusé d'être plus petit que sur mes photos, et il est parti. Autre cas: Alex, entraîneur de fitness à Seattle, a entendu un membre de son équipe de natation:

"Je suis prêt à accepter ton visage si tu me baises sans préservatif." Autre cas: Martin, un Britannique de Portland, a mis environ cinq kilos depuis qu'il y vit [à Vancouver], et - à Noël - il a reçu ce message par Grindr : "Tu as toujours été si sexy. Dommage que tu as perdu."

Dans d'autres minorités, le soutien communautaire réduit l'anxiété et la dépression. La proximité avec les gens que vous connaissez instinctivement est utile. Dans notre cas, par contre, c'est le contraire.

[Apparemment, ils ont peur que les autres vont découvrir leurs problèmes d'anus].

[Gays frustrés entre eux]

Plusieurs études ont montré que dans un quartier gay la tendance aux rapports sexuels non protégés et à la méthamphétamine [psychotropes] augmente, tandis que l'engagement envers le bénévolat ou le sport diminue. Un sondage de 2009 a révélé que les gays qui sont étroitement associés à leur communauté gaye sont moins satisfaits de leurs propres aventures amoureuses.


Les hommes gais se traitent mal les uns les autres parce que nous sommes des hommes - [le stress d'être discriminé dans un groupe gay est incroyablement élevé]


"Les hommes gays et bisexuels décrivent la communauté gaye comme un facteur de stress majeur", dit John Pachankis, qui mène des recherches à Yale sur les maladies liées au genre. La raison principale est que la discrimination dans le groupe dommage la psyché plus que le rejet par la majorité [des hétérosexuels].

Quand les homos sont rejetés par des homosexuels alors ce n'est pas important pour les gays, on peut rouler les yeux ou montrer le majeur - parce qu'on n'a pas besoin de leur reconnaissance. Mais le rejet par d'autres gays fait plus mal parce que l'on a plus besoin de ces gens.

[Les hommes gays qui ne s'aiment pas se maltraitent entre eux]

Les chercheurs à qui j'ai parlé supposent que les gais sont souvent blessés pour deux raisons. La raison principale, qui est également mentionnée le plus souvent, est que les hommes gays se traitent mal les uns les autres parce que nous sommes des hommes.

"Dans une communauté d'hommes, la masculinité est particulièrement mise à l'épreuve ", dit Pachankis. "La masculinité est un bien éphémère. Elle doit être constamment mise en scène ou défendue ou exigée. Quand on interroge la masculinité, on peut voir comment les hommes stupides réagissent à la masculinité. Ils prennent des poses agressives, prennent des risques financiers, veulent détruire des choses."


Les gays féminins souffrent souvent de suicide, solitude et maladies mentales

[Les psychos: les gays féminines ont la tendance plus au suicide, les gays masculins sont des machos, avec des drogues et tabac]

De cette façon, la stigmatisation omniprésente des hommes féminins dans la communauté gaye peut aussi être mieux comprise. Dane Whicker, psychologue clinicien et chercheur à l'Université Duke, a constaté que la plupart des hommes gais s'intéressent aux hommes masculins et veulent être aussi masculins que possible.

Cela pourrait être dû au fait que les hommes masculins avaient historiquement moins de problèmes dans la société hétérosexuelle. Ou peut-être s'agit-il d'homophobie intériorisée: Les gays féminins sont encore perçus de façon stéréotypée comme un fond, un partenaire réceptif dans les relations anales.

[Supplément: Chez les gays féminins, l'anus se brise plus rapidement, de sorte que le suicide se produit lorsqu'ils doivent porter des serviettes hygiéniques et des couches et vivre comme un bébé].


[L'Internet rend les bars gays superflus - mais l'Internet provoque PLUS DE STRESS et PLUS DE COMPLEXES]: Tandis que les bars gays disparaissent, de plus en plus de gens se rencontrent avec Grindr

Le portail de contact "Grindr" dans l'Internet avec un accent sur les gays
Le portail de contact "Grindr" dans l'Internet avec un accent sur les gays [6].

La deuxième raison pour laquelle la communauté gaye insiste autant sur ses membres n'est pas à cause de notre rejet mutuel, mais à cause du comment. Au cours des dix dernières années, les lieux de rencontre traditionnels des homosexuels - bars, boîtes de nuit, saunas - ont progressivement disparu et ont été remplacés par les médias sociaux.

Au moins 70% des hommes homosexuels d'aujourd'hui utilisent des applications de rencontres comme Grindr ou Scruff. En 2000, environ 20% des couples gais ont appris à se connaître en ligne. En 2010, il a atteint 70%. Le nombre de couples homosexuels qui se sont fait des amis s'est réduit de 30 à 12%.

[Histoires d'horreur sur Grindr contre les homos - résulte encore plus de stress]

On lise souvent des histoires d'horreur dans les médias au sujet de l'application Grindr, dont les utilisateurs l'utilisent en moyenne 90 minutes par jour: des histoires sur des meurtriers ou sur des homophobes qui remorquent leurs victimes ici.

Ou bien il s'agit des "festivités de chemsex" inquiétantes [soirées de sexe avec des drogues] qui se répandent à Berlin, Londres et New York. Et oui, ce sont des problèmes. Mais l'effet réel des applications est plus silencieux, plus discret et, d'une certaine manière, plus profond: beaucoup d'entre nous communiquent principalement de cette façon avec d'autres gays.


Ces applications nous donnent emphatiquement le sentiment d'être laids - [les critères souhaités sur la liste sont à peine remplis - on est simplement éliminé par un clic, ce qui cause des complexes d'infériorité]

Le pire dans les applications, cependant, et la raison pour laquelle elles affectent si différemment la santé des hommes gays et hétérosexuels, n'est pas seulement parce que nous les utilisons de façon si intensive. Au contraire, ils sont presque parfaitement adaptés pour exacerber notre perception négative de nous-mêmes.

En 2015, le chercheur en traumatologie Monsieur Elder a mené des entrevues avec des gays et a constaté que 90% de ses sujets voulaient un partenaire grand, jeune, blanc, musclé et masculin. La plupart d'entre nous ne remplissent pratiquement aucun de ces critères, et encore moins tout les cinq, et donc ces applications nous donnent emphatiquement le sentiment d'être laids.

[Le sauna gay était plus social que l'Internet, où l'on peut éliminer une personne avec un clic]

Bien sûr, tout cela n'est pas nouveau. Le psychologue Monsieur Walt Odets, qui se préoccupe de l'isolement social depuis les années 1980, explique que les hommes gais souffraient autant aux saunas qu'ils souffrent aujourd'hui de Grindr. Mais il voit cette différence chez ses patients plus jeunes :

"Si quelqu'un vous a rejeté dans le sauna, vous pouvez toujours lui en parler. Peut-être que cela pourrait devenir une amitié ou au moins une expérience sociale positive. "Les applications vous repoussent si vous n'êtes pas perçu comme sexuellement ou romantiquement intéressant."

Les applications peuvent simplement renforcer ou accélérer la version adulte de l'hypothèse que Pachankis qualifie comme "le meilleur petit garçon du monde". Lorsque nous cachons notre sexualité en tant que jeunes, nous concentrons notre estime de soi sur ce que le monde extérieur attend de nous: être bon dans le sport, à l'école, etc.

Et comme adultes les normes sociales nous poussent à nous concentrer encore plus sur notre estime de soi: sur notre apparence, notre masculinité, notre performance sexuelle.

Mais même si nous sommes ici compétitifs, même si nous atteignons notre idéal du sommet masculin dominant - même alors nous nous sommes en réalité conditionnés à être dévastés lorsque nous ne le rencontrons plus, ce qui sera inévitablement le cas.

Traduit de l'anglais par Elisabeth Thielicke >.


========

La dépression éternelle chez les gays provoque l'abus des garçons et les meurtres

Viols d'enfants et homosexuels: 35% des violeurs d'enfants avec des garçons sont gays - et la fréquence des viols est de 7,5:1 contre les hétéros qui violent les filles

du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995)  Garçon comme victime d'abus sexuel, 35% des agresseurs d'enfants sur les garçons sont gays
du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995) [2] - Garçon comme victime d'abus sexuel, 35% des agresseurs d'enfants sur les garçons sont gays [7].


Chez les homosexuels, l'abus de drogues, la dépression et le suicide sont des problèmes incontestés à l'échelle épidémique, mais ce ne sont pas les seuls problèmes:

  • L'ABUS DES ENFANTS: voir les études n° 85 -90.

Un grand problème est le nombre élevé d'hommes homosexuels qui préfèrent avoir des rapports sexuels avec des garçons (maltraitance d'enfants / pédophilie criminelle). Certaines études prouvent que 35% des abuseurs d'enfants sont des homosexuels, mais en général seulement 1 à 2% des hommes sont homosexuels! [web01]

Résumé

1 à 2 % des hommes sont gays - et commettent 35% des crimes d'abus d'enfants.
98-99% des hommes sont hétéros - et commettent 65% des crimes d'abus d'enfants.

Les pédophiles homosexuelles commettent 7 fois plus souvent des crimes d'abus d'enfants que les pédophiles hétéros.

On peut seulement deviner la raison: Aux gays les plaît tellement l'anus des garçons qu'ils se laissent provoquer a chaque crime contre les garçons. (Conclusion Palomino)

  • Et: les abuseurs d'enfants homosexuels abusent les enfants plus souvent (7 fois plus souvent!) que les pédophiles hétérosexuels: alors l'on a une relation de 150:20 ! (Rapports psychologiques 1985/57 page 1,227 -1,236).


Cette étude très détaillée des anomalies sexuelles chez les hommes a montré que pendant 22 ans 153 pédérastes gays (violeurs) ont abusé 22.981 garçons (au moyen ça fait 150 garçons abusé par homosexuel condamné), tandis que 224 hétéropédophiles (violeurs) pendant 18 ans ont abusé 4435 filles (au moyen ça fait 20 filles par hétérosexuel condamné) [web01].

[La différence de 4 ans entre 18 et 22 ans a été négligée pour cette statistique générale].


Il en résulte une relation de 7,5 à 1 de dangerosité plus haute pour les homosexuels contre les enfants. [web01]

Étude dans les "EUA" 1973-1992: Les gays violent les enfants 56 fois plus que les hétérosexuels

[Thèse: Les gais se vengent abusant des petits enfants parce que les enfants ont encore un anus intact que les gais n'ont plus].

du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995) du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995)

Une connexion étroite entre l'abus sexuel des enfants et les gays!

Une étude à long terme réalisée par le Bureau central statistique des États-Unis entre 1973 et 1992 a révélé que 49,4% de tous les cas de maltraitance d'enfants (soit un total de plus de 29 millions de cas) au cours de ces 20 années ont été commis seulement par 1 à 1,7% - ça veut dire: par la population homosexuelle. Cela signifie que, selon cette étude, chaque homosexuel abuse sexuellement d'une moyenne de 56 fois plus d'enfants que chaque adulte hétérosexuel. [web01]

Les deux tiers des abuseurs d'enfants appliquent la violence! [web01]

Une autre étude a révélé que 58% de tous les agresseurs d'enfants appliquent la violence et que 42% des enfants ont été blessés physiquement para la violence sexuelle (voir l'étude 6, Psychiatric Quarterly, février 1985, p. 89-102). [web01]


Statistiques sur les gays et les meurtres: 41% de tous les meurtres aux "EUA" sont commis par des gays - 34 fois plus souvent un gay est un assassin de masse qu'un hétéro


Meurtrier et tueur, coup de feu avec un revolver
Meurtrier et tueur, coup de feu avec un revolver [12].

[Dans les zones musulmanes, en Asie et en "Amérique latine", la méthode normale de meurtre est le couteau].

[Proposition: Les gais se vengent contre les hétérosexuels, apparemment parce que les gays ne peuvent plus régler leur vie avec l'anus détruit et avec la discrimination élégie. Les gays avec leur anus cassé n'ont plus rien à perdre, donc la criminalité haute n'est pas un problème pour eux].

du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995) du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995)

Homosexuels et violence: Bien que les homosexuels représentent au maximum 1 à 2% de la population, 41% de tous les meurtres aux Etats-Unis au cours des 17 dernières années ont été par les homosexuels. 8 des 10 meurtres de masse les plus graves avec plus de 3 morts (à la fois) ont été commis par des homosexuels. Ils sont donc 34 fois plus souvent impliqués en tant que meurtriers de masse et, selon l'étude n° 8 au chapitre 12, la probabilité est 196 fois plus grande qu'un meurtre en série (avec 1 meurtre à la fois, mais plusieurs décès successifs) est commis par des personnes du camp gay. [web01]
Littérature: Institut pour l'investigation scientifique de la sexualité, 1987 "Meurtre, violence et homosexualité".
(original anglais: Lit: Institute for the Scientific Investigation of Sexuality, 1987 "Murder,Violence and Homosexuality". )
Voir aussi le graphique "Âge moyen du mort" et le tableau "Causes de mort les plus fréquentes".

Âge moyen de la mort (mortalité) - comparaison hétéro-homo
-- Hommes mariés hétéros: 75
-- Hommes célibataires, hommes divorcés: 57
-- Homosexuels gais sans SIDA: 42
-- Les homosexuels homosexuels avec le SIDA: 39 [web01].


Graphique avec la mortalité en comparaison des hétérosexuels, homosexuels, et lesbiennes - statistique 1992
Graphique avec la mortalité en comparaison des hétérosexuels, homosexuels, et lesbiennes - statistique 1992 [8].

Statistiques: causes de la mort chez les homosexuels comparées avec les hétérosexuels

Cette étude a comparé 5371 morts homosexuels avec des morts blancs entre 25 et 44. Les homosexuels sont morts - quand on omette le SIDA comme raison de mort
-- 10 fois plus souvent en cas d'accident
-- 18 fois plus fréquents dans le trafic
-- 25 fois plus souvent par suicide (par exemple avec les somnifères [web16])
-- 87 fois plus souvent par meurtre [en particulier par des militants de droite ou entre eux].
-- 22 fois plus souvent par une crise cardiaque (le SIDA, certains médicaments contre le SIDA et les médicaments contre hépatites provoquent des plaques dans les artères coronaires [web17]).
(Étude réalisée par le Family Research Institute, Inc. Washington DC 1992, USA). [web01]


Accident de la route mortel  Comprimés pour dormir  Crise cardiaque
Accident de la route mortel [34] - Comprimés pour dormir [35] - Crise cardiaque [36].



Si l'anus ne ferme plus chez les gays de plus de 30 ans, la schizophrénie survie parce qu'ils pensaient qu'être gai était une "liberté", mais c'est l'enfer avec les serviettes hygiéniques et les couches, et alors ils ne se soucient plus de rien.

La dépression est suivie par la drogue, l'abus d'enfants, le meurtre, le suicide.



<<        >>



 


Les gays ont un énorme problème de dépression -- 2001: Mobbing et violence contre les jeunes gays et lesbiennes: Les jeunes gais et lesbiennes sont victimes d'intimidation et de violence dans les familles, dans les écoles et dans le public -- 2003: Le taux de suicide chez les jeunes gais et lesbiennes est 4 à 7 fois plus élevé que chez les hétérosexuels - en raison de la discrimination et de la "disgrâce familiale": Les adolescents gays et lesbiennes ont un taux de suicide quatre à sept fois plus élevé -- 14.10.2018 : Les gays souffrent de solitude - drogue, dépression, suicides: Épidémie de solitude: pourquoi les drogues, la dépression et les suicides sont plus fréquents chez les gays que jamais auparavant -- "Les drogues étaient une combinaison d'ennui et de solitude" - [les gays jouent la façade parfaite pour couvrir leur souffrance jusqu'à ce qu'ils s'effondrent] -- La dépression, la solitude et les drogues sont tout aussi courantes dans la communauté gaie comme avant des décennies - [la reconnaissance d'un mariage gai n'apporte pas plus de bonheur! La dépression reste - à cause de l'anus qui ne se ferme plus] -- La reconnaissance du mariage gay ne change pas l'état mental des gays -- Supplément : L'anus qui ne se ferme pas après 30 ans reste non mentionné -- Aux Pays-Bas, les homosexuels souffrent trois fois plus souvent de troubles affectifs que les hétérosexuels - [bien que la Hollande soit extrêmement favorable aux homosexuels] -- NL: Malgré le mariage gay depuis 2001, le sentiment d'une âme vide persiste: 3 fois plus de troubles affectifs que d'habitude, 10 fois plus d'intentions suicidaires et de tentatives de suicide que normal -- Suède : Mariage homosexuel depuis 2009 - mais le taux de suicide est 3 fois plus élevé chez les homosexuels que chez les hétérosexuels -- Les homosexuels ont été expulsés de leurs familles, leur vie amoureuse était interdite -- Les suicides: les gays ont le même taux partout - soit dans les quartiers homophobes ou gays! -- Résumé: Les maladies des gays - n'importe pas si ils vivent dans des zones homophobes ou homosexuelles -- Le stress d'être constamment préparé à être victime de discrimination -- Les gays tombent nerveusement malades, n'importe pas si ils sont discriminés ou ils vont bien -- Les gays semblent moins capables de résoudre les problèmes parce qu'ils sont beaucoup plus stressés, parce qu'ils sont en minorité - et c'est pourquoi ils pensent davantage au suicide -- Tout le rejet ne s'est produit que dans ma tête - [Troubles de stress parce que l'on appartienne à une minorité] -- Grandir comme un gay est tout aussi stressant que de grandir dans une pauvreté extrême - [et le trouble de stress post-traumatique ne s'arrête JAMAIS !] -- La question de l'hormone -- Le stress constant des homos - suffit UN idiot pour augmenter le stress de la vie -- Il y a un ton rude chez les hommes, ce qui n'est pas différent chez les homosexuels -- Dommages nerveux chez les gays : 1) Par toujours cacher son identité - 2) Par le mobbing depuis se présenter -- La discrimination rôde aussi dans la communauté gaye - [Discriminations et insultes de gays contre gays] -- Gays frustrés entre eux -- Les hommes gais se traitent mal les uns les autres parce que nous sommes des hommes - [le stress d'être discriminé dans un groupe gay est incroyablement élevé] -- Les hommes gays qui ne s'aiment pas se maltraitent entre eux -- Les gays féminins souffrent souvent de suicide, solitude et maladies mentales -- Les psychos: les gays féminines ont la tendance plus au suicide, les gays masculins sont des machos, avec des drogues et tabac -- L'Internet rend les bars gays superflus - mais l'Internet provoque PLUS DE STRESS et PLUS DE COMPLEXES]: Tandis que les bars gays disparaissent, de plus en plus de gens se rencontrent avec Grindr -- Histoires d'horreur sur Grindr contre les homos - résulte encore plus de stress -- Ces applications nous donnent emphatiquement le sentiment d'être laids - [les critères souhaités sur la liste sont à peine remplis - on est simplement éliminé par un clic, ce qui cause des complexes d'infériorité] -- Le sauna gay était plus social que l'Internet, où l'on peut éliminer une personne avec un clic -- La dépression éternelle chez les gays provoque l'abus des garçons et les meurtres: Viols d'enfants et homosexuels: 35% des violeurs d'enfants avec des garçons sont gays - et la fréquence des viols est de 7,5:1 contre les hétéros qui violent les filles -- Étude dans les "EUA" 1973-1992: Les gays violent les enfants 56 fois plus que les hétérosexuels -- Une connexion étroite entre l'abus sexuel des enfants et les gays! -- Statistiques sur les gays et les meurtres: 41% de tous les meurtres aux "EUA" sont commis par des gays - 34 fois plus souvent un gay est un assassin de masse qu'un hétéro -- Âge moyen de la mort (mortalité) - comparaison hétéro-homo -- Statistiques: causes de la mort chez les homosexuels comparées avec les hétérosexuels

Sources
[web01] de: JA zum Leben Nr.2003 / 51-53, journal: GZ 02030379 S  P.b.b.: Wissenschaftliche Fakten (faits scientifiques)
http://document.kathtube.com/13073.pdf

Buch: Thomas Schmidt: "Straight Narrow?: Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (Deutsch: "MitleidundKlarheit in der Homosexualitäts-Debatte" (1995),
du livre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995)
acheter chez Amazon (anglais)
avec plus de 200 citations et sources de diverses revues et études médicales, psychologiques et psychiatriques, 240 pages, InterVarsityPress.

Chapitre 6, "Le prix de l'amour" page 100-130; L'aspect de la santé des pratiques homosexuelles.

[web02] https://de.wikipedia.org/wiki/Amöbenruhr
[web03] https://de.wikipedia.org/wiki/Giardiasis
[web04] https://de.wikipedia.org/wiki/Gonorrhoe
[web05] https://de.wikipedia.org/wiki/Salmonellen
[web06] https://de.wikipedia.org/wiki/Campylobacter
[web07] https://de.wikipedia.org/wiki/Chlamydien
[web08] https://de.wikipedia.org/wiki/Syphilis
[web09] http://www.med1.de/Forum/Sexualtechniken/208107/?p=2
[web10] https://www.onmeda.de/forum/hämorrhoiden/2411527-schließmuskel-schließt-nicht-bleibt-offen

[web11] http://www.gaymed.at/startseite_gaymed/vorwort/liebe-auf-griechisch/
[web12] http://www.gaymed.at/startseite_gaymed/vorwort/tabuthema-po/


Sources de photos

[1] Statistiques sur les jeunes et les pensées suicidaires et les tentatives de suicide: https://www.phillymag.com/g-philly/2012/04/03/queer-young-bullied/
[2] L
ivre de Thomas Schmidt : "Straight Narrow ? Compassion & Clarity in the Homosexuality Debate (1995) - ISBN 0-8308-1858-8" (1995) (allemand: Pitié et clarté dans le débat sur l'homosexualité - 1995)
[3] Mobbing et désespoir, dépression chez l'homme: https://www.pinterest.es/pin/133067363974891900/
[4] Le jour de la présentation (Coming out Day e.V.), logo: http://www.coming-out-day.de/
[5] Set de seringue d'héroïne pour une surdose: https://www.pinterest.es/pin/204702745546791876/
[6] Portail de contact Internet Grindr: http://www.wetpaint.com/why-women-and-straight-men-use-the-gay-dating-app-grindr-1474383/
[7] Garçon comme victime d'abus: https://www.focus.de/familie/kindergesundheit/eltern-wollen-es-oft-nicht-glauben-denen-passiert-das-nicht-warum-jungen-mit-missbrauchserfahrungen-oft-allein-gelassen-werden_id_6804441.html

[8] Graphique avec la mortalité comparé hétéros, homos, lesbiennes - statistique de 1992: http://document.kathtube.com/13073.pdf
[9] Accident de la route mortel: https://www.pinterest.es/pin/683632418408598434/
[10] comprimés pour dormi: https://www.pinterest.es/pin/224617100149652011/ - https://www.pinterest.es/pin/822821794393580499/

[11] Crise cardiaque: https://www.pinterest.es/pin/814799757557502265/
[12]
Meurtrier et tueur, coup de feu avec un revolver:
https://wize.life/themen/kategorie/fahndung/artikel/67572/versuchter-mord-in-rosenheim-frau-26-auf-offener-strasse-niedergeschossen

^